Catégories : Humour, FESSESTORY sexe, BDSM,libertin, ABDL, fessée Rencontres FESSEE, éducation anglaise canne fouet Femme et Homme
il y a 6 ans
Ma première épouse, qui était très jeune - elle avait 19 ans quand nous nous sommes mariés et moi guère plus - n'était pas portée sur la fessée et je ne suis jamais parvenu à lui en faire partager le goût. Je l'ai bien un peu fessée, mais elle était douillette et je n'ai jamais pu aller très loin.
Et je n'ai jamais réussi à obtenir qu'elle me fesse : lorsque je le lui ai demandé, elle m'a répondu qu'elle se sentirait ridicule de faire cela et qu'à tout prendre elle préférait encore que je la fesse, moi. De toute façon notre mariage, qui était vraiment une erreur de jeunesse, n'a pas duré longtemps. Entre notre séparation et la rencontre de celle qui devait devenir ma seconde épouse il s'est écoulé plusieurs années au cours desquelles j'ai eu diverses aventures et liaisons sans trouver une fille qui partageât mes goûts, sauf une fois.
C'était une jeune femme de 25 ans (j'en avais alors 27) qui était professeur d'allemand et avec qui je faisais du théâtre dans une troupe d'amateurs. Elle était de milieu modeste, son père était français et sa mère allemande, et elle avait reçu, ainsi que ses trois sœurs et son frère, une éducation "à l'allemande". La punition qui avait cours chez elle était la fessée déculottée administrée par le père lorsqu'il rentrait du travail, et cela devant toute la famille. Mon amie, qui s'appelait Élisabeth, ne gardait aucunement rancune à ses parents de cette sévérité et elle était elle-même une chaude partisane des châtiments corporels, regrettant parfois de ne pas avoir le droit d' en administrer aux élèves paresseux ou indisciplinés. C'était une fille solidement charpentée, sportive, d'allure décidée et de manières brusques, un peu masculine mais jolie, blonde comme les blés.
Un jour, notre relation amoureuse avait commencé, nous nous embrassions, mais c'était avant que nous fussions devenus amants, comme je me montrais un peu trop entreprenant en essayant de la caresser sous ses sous-vêtements, elle me menaça d'une fessée. C'était plus ou moins sur le ton de la plaisanterie, mais j'en fus troublé, d'autant plus que j'avais l'impression que cela correspondait à un réel désir chez elle. Les choses n'allèrent pas plus loin ce jour-là. Environ deux mois plus tard, alors que là nous étions devenus amants, un jour que nous déjeunions ensemble chez elle, je renversai mon verre de vin et tâchai ma veste. Elle me dit alors, sur le même ton un peu ambigu que la fois précédente : "ça, ça mérite une bonne fessée". Je pris alors mon courage à deux mains, la regardai droit dans les yeux d'un air de défi et je lui répondis : "chiche ? Pas chiche !"
Elle ne fit ni une, ni deux. Elle me saisit par le bras, m'attira contre elle (elle était assise sur sa chaise) et entrepris de déboutonner mon pantalon et le fit tomber sur mes talons. Elle m'empoigna alors sans ménagements et me coucha en travers de ses genoux. Puis, d'un geste brusque, elle baissa mon slip jusqu'à la commissure de mes genoux, leva très haut son bras et abattit la paume de sa main sur la raie de mes fesses. Après m'avoir administré une dizaine de claques, elle me releva. Cependant je n'avais pas mon compte et je voulais aller plus loin. Je la défiais donc de nouveau en lui disant en haussant les épaules : "Même pas mal !". Elle ne fit ni une, ni deux : elle me courba de nouveau sur ses cuisses et reprit la correction avec une vigueur renouvelée.
Comme je l'ai dit, Élisabeth était une fille athlétique. A vrai dire, elle avait la force physique d'un homme, comme je pus le constater dans diverses autres circonstances, et là elle m'administra une véritable raclée. Elle était bien décidée à ce que je ne puisse pas lui dire une seconde fois "même pas mal !" et elle en prit les moyens : elle me fessa si longtemps et si fort qu'elle me mit le cul en feu, les fesses en compote. A bout de résistance je dus lui demander grâce. Elle me fit relever et, me regardant droit dans les yeux, me demanda avec un sourire ironique : "Alors, toujours même pas mal ?". Et là, incapable que j'aurais été d'en supporter davantage, je dus lui avouer que, si, j'avais très mal. Évidemment cette séance nous avait considérablement excités tous les deux et la suite fut également très chaude, d'une autre façon.
De ce jour, la fessée devint une composante régulière de nos rapports, et cela de façon mutuelle car si Élisabeth avait un tempérament dominateur, elle gardait des fessées paternelles qu'elle avait reçues le désir d'être corrigée de temps à autre. Je la fessai donc moi aussi parfois - beaucoup moins souvent que l'inverse cependant - et je n'avais alors aucun besoin de me modérer car elle n'en avait jamais assez. Je compris pourquoi le jour où je rencontrais son père pour la première fois. C'était un véritable colosse (il était docker) avec des mains comme des battoirs et les fessées que j'étais en mesure d'infliger à sa fille devaient être peu de chose à côté de celles qu'elle avait accoutumé de recevoir de lui pendant son enfance et son adolescence.
Malheureusement notre relation prit fin. Si elle était un peu amoureuse de moi, elle était pour moi, en dépit de ses qualités, plus une amie qu'une amante ou qu'une femme avec qui j'aurais pu passer toute ma vie. Mais j'ai toujours regretté la complicité extraordinaire qui nous unissait autour de la fessée et que je n'ai jamais retrouvée avec aucune autre femme.
Cette ressource n'a pas encore été commentée. |
Ce site Internet est réservé à un public majeur et averti et est conforme à toutes les règlementations françaises en vigueur. Il contient des textes, des liens et des photos classées X qui peuvent être choquantes pour certaines sensibilités.
Je certifie sur l’honneur :
- être majeur selon la loi en vigueur dans mon pays.
- que les lois de mon état ou mon pays m'autorisent à accéder à ce site et que ce site a le droit de me transmettre de telles données.
- être informé du caractère pornographique du serveur auquel j'accède.
- je déclare n'être choqué par aucun type de sexualité et m'interdit de poursuivre la société éditrice de toute action judiciaire.
- consulter ce serveur à titre personnel sans impliquer de quelque manière que ce soit une société privée ou un organisme public.
Je m'engage sur l'honneur à :
- ne pas faire état de l'existence de ce serveur et à ne pas en diffuser le contenu à des mineurs.
- utiliser tous les moyens permettant d'empêcher l'accès de ce serveur à tout mineur.
- assumer ma responsabilité, si un mineur accède à ce serveur à cause de négligences de ma part : absence de protection de l'ordinateur personnel, absence de logiciel de censure, divulgation ou perte du mot de passe de sécurité.
- assumer ma responsabilité si une ou plusieurs de mes présentes déclarations sont inexactes.
- j’ai lu, compris et accepte sans réserve les conditions générales rédigées en français même si j’ai usage d’un traducteur automatique ou non pour accéder à ce site internet.
Toutes les images contenues dans ce site sont en accord avec la loi Française sur la pornographie (aucune image de mineur n'est présente sur ce site)